Direction Le Palais Impérial (kôkyo). Construit sur le site de l’ancien château d’Edo, il offre à la vue des portes monumentales et des ponts ( dont le beau Nijubashi) enjambant les douves originelles encore remplies d’eau. Ce palais est toujours la résidence de l’empereur et de sa famille, aucune visite n’est possible.
Metro jusqu’à Ginza et son quartier très..chic ! Ancien marais asséché rapidement devenu un pôle d’attraction pour les commerçants dans la capitale Edo dès le 17ème siècle, c’est tout naturellement que les sièges des grandes sociétés s’y sont installés, faisant de ce quartier un lieu très en vogue au 20ème siècle. Boutiques de luxe, showrooms, flagships des grandes marques, grands restaurants bordent aujourd’hui ses larges avenues.
Nous arrivons ensuite au quartier d’Asakusa, qui s’étend le long du fleuve Sumida, lieu de sortie populaire des tokyoïtes où perdure l’esprit du vieil Edo. Visite de temple Senso-ji, avec ses couleurs flamboyantes, son atmosphère populaire et sa multitudes de boutiques. Ce plus ancien temple boudhiste dédié à la déesse Kannon est très apprécié des japonais (comme des voyageurs étrangers). Surnommé aussi le quartier des plaisirs du fait de la présence d’une prostitution depuis longtemps, le prétexte d’aller au temple était souvent utilisé pour un tout autre commerce.
Rapide déjeuner..sans tofu!
Croisière à bord d’un bateau futuriste sur la rivière Sumidra pour rejoindre le quartier d’Odaïba, grande île artificielle bâtie à partir de 1853 et reliée au reste de la ville par le Rainbow Bridge. Elle accueille des bureaux, des centres commerciaux, et une multitude de divertissements pour les week-ends des tokyoïtes. La terrasse du siège de la télévision japonaise Fuji TV (dernier chef d’œuvre de l’architecte Kenzo Tange) permet d’avoir une vue panoramique sur le skyline de Tokyo. Arrêt photo incontournable devant la statue Gundam, robot géant à taille réelle (18 mètres), en hommage à la série télé éponyme.
Retour tranquille à l’hôtel en monorail.
































































Répondre à Taillade Geneviève Annuler la réponse.