Une très longue journée commence…
Petit gag ce matin: Au petit-déjeuner, voyant un de nos amis manger quelque chose d’aspect peu ragoûtant d’emblée (mais nous sommes au Japon, pays des surprises culinaires…), nous lui demandons son avis: « c’est un peu fade mais légèrement sucré, pas désagréable »…pour nous apercevoir qu’en fait il mangeait de la pâte à gaufres crue…j’en ris encore…comme quoi on s’habitue à tout, sans se poser de questions!
Départ en train vers Kamakura pour découvrir cette petite ville en bord de mer, ancien centre politique et militaire des 13ème et 14ème siècle, aujourd’hui appréciée pour ses temples et collines boisées.
Visite du temple Engaku-ji, l’un des plus importants complexes de temples boudhistes zen au Japon, fondé en 1282, et du sanctuaire de Tsurugaoka- Hachimengu, construit en 1063 et agrandi au fil du temps. Ce temple shinto est le sanctuaire majeur de Kamakura et on lui présente (sorte de baptême) les nourrissons de un mois, puis les enfants de trois, cinq et sept ans, en grande tenue. C’est la force de la tradition, même si la pratique religieuse en tant que telle paraît nettement diminuer avec les jeunes générations.
Dejeuner sushi, mais il a fallu qu’ils mettent tout de même du tofu…bon…pas trop, cette fois!
Passage rapide dans les ruelles commerçantes pour reprendre ensuite le bus.
Visite du temple Kotoku-in avec son célèbre Boudha en bronze. Jadis dorée, cette statue a perdu sa couleur d’origine mais demeure néanmoins la principale attraction de Kamakura: c’est en effet l’un des plus grands boudhas assis du Japon. A noter que toute la structure en bois qui le protégeait a été emportée par un tsunami…mais le Boudha n’a pas bougé ! Énormément de groupes scolaires de tout le Japon tout au long de l’année.
Retour à Tokyo en une heure trente de train, en pleine heure de pointe! Une sacrée expérience aussi, dans cette mégalopole !
Et dîner (pour 10 euros) très copieux dans une toute petite échoppe spécialisée dans le porc bio pané.














































Répondre à Cécile Puig Annuler la réponse.